2. févr., 2012
« Ne lâche pas la proie pour l’ombre », me disait-on. Je ne voyais que l’ombre, et pas celle, apaisante des journées ensoleillées ; Non. L’ombre, la vraie, celle qui traîne sans cesse derrière vous, sans répit, et qui finit par vous envahir.
Vint un jour son regard, sa voix de l’eau de là, et comme je n’aimais pas l’eau d’ici, je m’y suis engloutie. Sa voix était douce, son regard vert profond, et quand sa présence se faisait rare, je me disais que nous n’irons plus au bois, les lauriers sont coupés.
Derniers commentaires
31.12 | 16:15
Merci à toi! Bonne année !
gmail
31.12 | 15:50
31 Décembre 2921 16h
Merci pour les textes et les oeuvres aussi diverses que variées.
Un plaisir renouvelé chaque année.
A l'année prochaine dans 8h !!
🦔
10.01 | 23:26
Des écritures émouvantes, des toiles qui invitent aux voyages, la tendresse du mot et du trait sans cesse renouvelé.
Il y a toujours a découvrir.
Merci.
21.03 | 11:49
Heureuse de découvrir votre site. Il me plaît.
Hilda Damman